Le décodage de Libé sur « le gilet jaune tué place de l'étoile » dissimule les balles traçantes


Jacques Pezet pour CheckNewsFr a réalisé un fact checking fastidieux sur l'homme s'affalant comme mort le 24 novembre (je me fie à eux pour cette date) place de l'étoile. Ce décodage publié par Libé (sauvegarde) passe étrangement sous silence la balle traçante suivant immédiatement l'indicent, visible dans le même enregistrement dont un cliché est reproduit ci-dessus. Les balles traçantes servent à corriger le tir dans l'obscurité. Or, une autre vidéo autre montre un tireur d'élite visant en direction de l'étoile (RAS, analyse les mêmes dans un autre article).


La réaction du journaliste à la critique d'un internaute sur twitter : plusieurs fois il fait diversion (avez vous la preuve qu'un homme est mort ?), avant de la balayer d'un revers de la main sur le mode de la dérision : « devrais-je aussi consulter un géologiste pour vérifier que ce n'est pas une poussière de météorite ». Faux tendant à dissimuler un éventuel homicide volontaire : manifestement ce journaliste, son employeur et Libé, croient en leur bonne étoile pour s'exposer délibéremment à ces infractions pénales.

Je reproduis ci-après le flagrant délit de j'menfoutisme de Jacques Pezet.


Constitue un faux toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accomplie par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d'expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d'établir la preuve d'un droit ou d'un fait ayant des conséquences juridiques. Le faux et l'usage de faux sont punis de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende. (Art. 441-1 du C.P.)

Est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende le fait, en vue de faire obstacle à la manifestation de la vérité: 1° De modifier l'état des lieux d'un crime ou d'un délit soit par l'altération, la falsification ou l'effacement des traces ou indices, soit par l'apport, le déplacement ou la suppression d'objets quelconques ; 2° De détruire, soustraire, receler ou altérer un document public ou privé ou un objet de nature à faciliter la découverte d'un crime ou d'un délit, la recherche des preuves ou la condamnation des coupables. Lorsque les faits prévus au présent article sont commis par une personne qui, par ses fonctions, est appelée à concourir à la manifestation de la vérité, la peine est portée à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende. (Art. 434-4 du C.P.)

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